Noël approche, quel scoop n’est-ce-pas ? Je n’ai pas l’habitude de le faire sur ce site, mais je vais quand même profiter de l’occasion pour faire un peu de promotion sur mes livres. Car si vous hésitez encore pour vos cadeaux, j’ai donc une (bonne) idée : achetez mes livres ! Du moins, pas tous, seulement mes deux romans sur fond de blues. Celles et ceux qui m’ont fait l’amitié de les lire, que je remercie une nouvelle fois, les connaissent bien sûr déjà. Mais aux autres, je propose une description rapide. Le premier, Charlie n’est pas mort en vain – Le blues en héritage, est un roman sur fond de blues dans le Mississippi rural des années 1930. Le deuxième, intitulé Un cadeau amer pour Julius – Le blues en héritage est la suite du précédent décrit ci-dessus. Il se déroule donc toujours dans le Mississippi rural des années 1930, mais également en partie sur l’île de Marie-Galante en Guadeloupe. Je précise qu’il n’est pas obligatoire d’avoir lu le premier pour lire le deuxième. Ces deux livres sont uniquement disponibles sur commande par Amazon (voir liens plus haut), en versions papier et numérique. Spécialement à destination des habitants de l’île de Marie-Galante (où je vis), je précise qu’il me reste quelques dizaines d’exemplaires du premier roman : vous pouvez donc me contacter directement, par WhatsApp au +590 690 32 94 72 ou par e-mail à l’adresse daniel.leon69003@gmail.com.
Avec tous mes remerciements.

Je vous mets ci-dessous les synopsis de ces deux livres.

Synopsis de Charlie n’est pas mort en vain :
« L’année 1934 marque une très relative accalmie dans la crise qui frappe les États-Unis. Né dix-sept ans plus tôt, Julius Beacon est l’aîné d’une famille afro-américaine de classe moyenne. Particulièrement doué, il se destine assurément à une carrière brillante qui ferait le bonheur de son père. Julius grandit à Greenwood, Mississippi, en plein Delta, région considérée comme le berceau d’une musique qui nourrit la fierté de sa communauté, le blues. Mais un jour funeste d’avril 1934, cet art perd Charlie Patton, son guide, son inventeur, son bâtisseur. Julius ne connaît pas Patton et son père pasteur ne souhaite surtout pas qu’il rencontre cette musique. Alors que le blues se cherche un nouvel inspirateur, son destin prend un cours nouveau et imprévu. Privé de la protection du cocon familial, il va répondre à l’appel impérieux de la musique. Mais l’histoire de Julius est aussi celle de la communauté afro-américaine dans le Mississippi rural des années 1930, celle d’une région marquée par la misère, la violence, l’injustice, la ségrégation, où la vie est un combat commandé par l’urgence et l’improvisation. Alors Julius va apprendre à vivre autrement, par le blues et le quotidien de ceux qui le font. Jusqu’à s’accomplir et s’imaginer en successeur de Charlie Patton. »

Synopsis de Un cadeau amer pour Julius :
« Après Charlie n’est pas mort en vain paru en 2017, voici le deuxième volet de la série « Le blues en héritage », Un cadeau au goût amer pour Julius. On retrouve l’Afro-Américain Julius Beacon en 1937, désormais père de famille installé à Clarksdale, Mississippi, où il vit de sa musique, le blues. Artiste accompli qui a enregistré ses premiers disques l’année précédente, il va maintenant connaître l’évolution d’un blues alors en pleine mutation. En effet, la fin des années 1930 marque l’apparition de l’amplification électrique des instruments et de formations étoffées, notamment dans les grands centres urbains. Par de nouvelles rencontres, Julius découvre l’itinérance, qui prend quelques détours dramatiques au plus fort de la ségrégation avant de le conduire en Louisiane. Dans une région de cet État que l’on appelle le pays cajun, il trouve les réponses aux questions qu’il se posait sur ses origines, ses parents étant justement originaires de Louisiane. Puis viendra l’heure des obligations militaires qui le mèneront à Saint-Thomas, une des îles Vierges américaines dans les Antilles. Son parcours passera même par une île guadeloupéenne, Marie-Galante. Loin du blues, loin de sa famille, Julius se retrouvera-t-il ? »