À New York en 1974. © : Don Paulsen / Michael Ochs Archives / Getty Images.

Avant-hier dimanche 16 janvier 2022, dans son émission sur RFI Musique L’Épopée des musiques noires, Joe Farmer revenait sur le parcours d’Etta James, qui nous a quittés il y a dix ans, le 20 janvier 2012. Je ne réécrirai pas tout le bien que je pense de cette chanteuse majeure du siècle dernier, d’une aisance vocale irréelle dans pratiquement tous les styles qui nous intéressent : blues, R&B, soul, rock ‘n’ roll, jazz et gospel… il suffit de citer Wikipedia ! Née Jamesetta Hawkins le 25 janvier 1938 à Los Angeles, Californie, découverte à l’adolescence par Johnny Otis, confrontée durant pratiquement toute sa vie à de sérieux problèmes de drogue, souffrant de la maladie d’Alzheimer et finalement emportée par une leucémie à soixante-treize ans, elle est toutefois parvenue à nous léguer une œuvre de tout premier ordre. L’émission s’écoute à cette adresse.